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ouverture > accueil > dnafoundation > lapareillage > industrieIMP > écologie > transparence > propriété < gouvernement < Démocratie < parti < accueil < ouverture Propriété du Perçu page-table - A: prop-a - B: prop-b - C: prop-C - D: prop-D - E: prop-E Objectivation des choses |
RÉSUMÉ AUDIO
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La base du propriétarisable
La philosophie depuis longtemps s'était aperçue que, pour que les choses (du monde) fussent perçues, le système nerveux (des animaux) nécessitait une mémoire - deuxièmement cette mémoire, telle que l'être humain la cultivait, rendait ces choses propres à être perçues comme des objets. La psychologie a confirmé ce fait qui attribue à une instance cette mémoire, qu'elle appelle le «Moi». Puis les neurosciences ont continué à faire état de ces degrés logiques (calculés en algorithmes "cybernétiques"). C'est donc avec la biologie, quand la neurologie a pu fournir une base incontestable, qu'un virage crucial pour la notion de propriété eut lieu - les choses devenant objets (c'est à dire propriétarisables) en l'espèce du perçu.
voici un résumé de cet acquis biologique :
fig.G ; table synaptique |
Les choses gagnent un statut d'objets, identifiées par les zones corticales du cerveau en résultat d'une circulation (circuit/réseau neural) des stimulations sensorielles. La psychanalyse fut le premier comportement social à en tirer les conséquences. Elle formula en 1900 les théorèmes de l'identification à partir de la première connaissance des lois neuro-synaptiques (fig.G : un schéma neurologique selon Freud). Freud décrivit une régulation respective de la mémoire et de la perception en une psychologie scientifique. Son esquisse concluaient que le perçu s'inscrivait en traces de mémoire - dont l'économie énergétique fixait les règles de la subjectivité de l'organisme humain. Cette nouvelle description du monde que la biologie garantissait au début du 20em siècle, fut certifiée au milieu du même siècle par la démonstration de Lacan qui la vérifia par sa compatibilité cybernétique (fig.D : un circuit cybernétique selon Lacan). |
fig.D |
et voici un résumé de cette maturation historique :
La prise en considération des feedbacks et des stockages de mémoire (menant aux lois symboliques déterminantes du comportement humain), a conclu à un double processus dont la cybernétique (définition : science des relations et de leur contrôles entre les organismes vivants et synthétiques) établit la connaissance. Le modèle qu'elle achève (fig.D) rappelle ses traces au cours de l'histoire de la culture :
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Un schéma terminal (fig.3) indique la série (s1, s2, s3..) où le perçu devient propriétarisable (ombres de la Caverne devenues objets à l'identification des neurosciences).