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Propriété du Perçu

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Théorie de l'objet
 


RÉSUMÉ AUDIO


L'identification du propriétarisable

 

   Le début (du chemin de l'identification) est une lueur qui restitue une consistance dans le monde autrement ravagé par l'illumination trop forte de la nomination en place (anciennement connu «Logos primordial»).

[description détaillée : En réfléchissant à son image réfléchie (Cybernétique Seconde), l'être humain a vu les signes comme des mots. Mais une fois qu'un langage avait ainsi prêté au monde une description, l'entendement a généralement été sujet à l'illusion ; particulièrement l'image réfléchie s'assujettissait à une aliénation emportant l'observateur. On croyait donc bien voir mais on le croyait trop : l'identification n'était pas plus en doute. Tout était extérieur, et avant toute chose l'identité (de soi) se trouvait dans la possession - cette possession ou l'identité de soi limbait toutes autres choses. Pour que ces limbes parussent, une lueur fut nécessaire qui allait faire paraître la brillance de Maya, l'illusion, un peu plus pâle. Cette lueur fut la notion de valeur qu'on sut attribuer à l'indéfini identifié.]


   L'identification de quelques choses s'éclaire de leur valeur. Ce critère a accédé au degré scientifique lorsque les mécanismes et une dynamique de la valeur ont été conquis - c'est à dire par les mathématiques et avec la notion d'économie et particulièrement avec la connaissance de la plus-value, également par des notions linguistiques (valeur & opposition de valeur).
   A l'appui ces principes de fonctionnement et de fonction de l'identification, la distinction de la propriété a suivi un progrès parallèle. L'histoire cite par exemple, Marx et Proudhon pour référence de cette acquisition. L'assimilation par le second, de la propriété au vol, instruit tant qu'on le veut le 20em, voire le 21em siècle de la propriété intellectuelle ; mais cette ressource au 19em siècle est encore immature au regard du procédé de l'identification ; le 19em achève l'identification mais borne l'identité de soi à celle du maître/esclave. L'identification est gagnée au titre de la valeur des choses, mais la chose n'est pas encore objectivement identifiée. Tout juste remarque-ton qu'émerge à cette période la connaissance physiologique du perçu :

   A la fin du 19em et surtout au 20em siècle, les progrès débutant de la neurologie autorisent une nouvelle opérabilité : dans l'environnement acquis d'une économie, la partie sensorielle de l'identification commence à s'éclairer de la science des synapses. La nature cellulaire des tissus et l'importance de leurs connexions prévalente dans le cerveau, d'une part assigne une localisation au perçu mais aussi systématise de manière indélébile ledit perçu à la mémoire. Toutes ces notions, simples et pour la plupart évidente, connues par l'intuition ou la spéculation (anciennement «Science de l'Occulte») sont à partir du 20em siècle définitivement fixées et certifiées par l'observation technique et scientifique, c'est à dire pour le plus bête des crétins (homopouvoir) puisque de manière absolue c'est ce type de personnage qu'il faut convaincre (voir La Sainte Éthique pour la définition d'Homo Pouvoir).

en résumé :

   Du fait de ces identifications des choses avec leurs économies, mais aussi identifications de l'identification à travers la perception, la mémoire et l'organisation cellulaire, les notions de propriétés ont gagné, sous le vol assuré de la valeur, une base . Pourtant sur cette base, la notion de propriété n'a pas été fondamentalement travaillée. La 'valeur' de type capitaliste a continué à faire la préoccupation principale du 20em siècle ; le vol est devenu ontologique. C'est au début du présent 21em, qu'une idéologie (un rideau de fumée) de la "propriété intellectuelle" s'est révélée en masquant la mutation qui frappait l'identification. Tout au cours de la maturation qui y était parvenue, durant un siècle la psychanalyse seule avait relevé une modification des points de vue, des perspectives et finalement de la perception. Elle avait débuté à partir de la découverte des circuits neuronaux, comme ce qui allait bientôt porter le nom de "cybernétique". Sous le nom de cette science elle retenait le situation de la chose devenue intérieure.

 

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